17.2 La vie de la paroisse de Marciac ... au XIXe siècle
La paroisse de Marciac existe depuis la fondation de la bastide à la fin du XIIIe siècle. Le culte fut célébré à l’église Saint-Pierre puis, au XIVe siècle, dans l’église de Notre-Dame de l’Assomption.
Plus que la beauté architecturale de cet édifice, c’est le rapport des habitants avec l’Eglise qui a retenu l’attention.
La base documentaire provient des comptes rendus, procès-verbaux, livres de comptes tenus par la paroisse. Elle est aussi à rechercher dans les inventaires sous-seings privés rédigés par les curés doyens comme Louis Sancet, au début du XIXe siècle, ou encore contradictoire comme celui d’Emile Sembrès lors de la séparation de l’Eglise et de l’Etat. Les écrits laissés par les curés doyens successifs, ou encore des articles relevés dans les publications de la Société Archéologique du Gers, complètent et éclairent sur la portée de certains évènements ou pratiques en cours à cette époque.
Approche socio-économique : quelques constations
Les décideurs de l’époque ont été présentés par l’article 78 de la rubrique « Nouveau ». Il oppose les curés doyens aux magistrats de la ville de Marciac. Par leurs décisions, ils donnèrent à la bastide une impulsion économique qui seule nous intéresse.
En effet, le XIXe siècle se traduisit par un impressionnant calendrier de mises en chantiers pour la reconstruction, restauration puis l’embellissement de l’église paroissiale, avant d’en arriver en 1874 à l’érection de la nouvelle chapelle, Notre-Dame-de-la-Croix. Avec quels moyens ... ?
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