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Les photographies sont de François Serres
.Marciac en fête ! L'église de Marciac, à l'instar de toutes celles de France, connut pour la veillée de Noël une belle assistance ... nettement plus importante que celle des dimanches ordinaires. Sans commentaire, les photographies parlent d'elles-mêmes .
A préciser toutefois que le déroulement de la cérémonie commença par une prestation des élèves du catéchisme autour du thème de la Nativité.
La messe fut animée par la chorale et se termina par la prestation d' un ensemble musical “mixte”, c'est-à-dire composé de musiciens appartenant à divers groupes.
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Noël 2012 aura été l'occasion pour la paroisse de la cathédrale de Strasbourg, au travers de sa crèche, de compléter l'histoire en commençant par le début.
L'ange Gabriel et la Vierge Marie, nouvelles statues 2012 de la crèche, créées par Michaël Huber dans son atelier d'Oberkirch, viennent de l'enrichir.
Cette séquence faisait jusqu'alors défaut dans cette crèche du XIXe s. Les statues auront nécessité plus de 200 heures de travail de la part de l'artiste qui les a créées à la ressemblance de l'existant. Autre difficulté pour une intégration parfaite à l'emble relatant l'adoration des bergers, la crèche proprement dite, l'adoration des mages et enfin la présentation au temple... la couleur à restituer de manière défraichie, à l'instar de l'existant.
Pour preuve, la présentation de la crèche qui fut faite en 2011.
Investissement d'ordre matériel, Le Noël rencontré tout au long des marchés traditionnels qui tels "les petits pains" se sont multipliés dans toutes les villes d'Europe, de France ou d'ailleurs exigeant des "traditionnalistes comme ceux d'Alsace" beaucoup d'imagination pour continuer à se distinguer : photographie de eaep Noël à Kaysersberg.
Evènement économique, Noël se résume pour beaucoup qu'aux cadeaux et sapins ; un peu comme cela !
A ceux qui désespèrent de cette primauté, l'évènement fournit quand même un beau prétexte pour en parler ... sous tous ses aspects matériels comme spirituels.
Bonne fête de Noël !
source : Cathédral' n° 10 novembre/décembre "La crèche de Strasbourg"
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Tous les ingrédients d'un marché réussi réunis, celui de Marciac ne pouvait pas décevoir.
80 exposants répartis tout autour de la place ; soleil au rendez-vous ... sans doute moins porteur pour un verre de vin chaud ! Calèche et Père-Noël et ... l'authentique stand dont blogmarciac s'était fait l'écho : décorations dans le pur esprit des Noëls alsaciens ( article du 9 décembre) .
A lire les articles parus dans La Dépêche du 19 décembre, le marché fut une réussite. Bien agencé et animé comme il faut, les clients ne l'ont pas boudé. Tous y ont trouvé leur compte avec toutefois une légère avance pour les stands emblématiques du bien vivre en Gacogne, les étales des produits locaux. cf. la photographie illustrant les deux aspects du marché prise par Maurice Serres.
L'édition 2013 ne pourra être que meilleure ! Marciac a déjà bien "peaufiné" sa décoration ( voir article précédent) ; désormais sur le marché, un stand authentique de couronnes de l'Avent dont la première confectionnée, tout en produits naturels, fut donnée à l'église paroissiale (idem voir article) ; animations musicales réussies tant du côté de l'Astrada que de l'église paroissiale il ne reste plus qu'à trouver pour Marciac un thème porteur mettant en valeur toute la commune pour attirer à elle encore plus de visiteurs. Et si les "sapins" de la place pouvaient donner le la ?
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Pour la première fois sur le marché de Noël de Marciac, vous allez pouvoir acheter votre couronne de l'Avent et pas n'importe laquelle. Jugez plutôt !
La couronne reproduite ci-contre ( photographie propriété du quotidien "Les dernières Nouvelles d'Alsace") a fait la une du hors série n° 1 COTE EST : une création particulièrement remarquée et distinguées pour son originalité et sa beauté au pays du savoir-faire des couronnes !
Elle est l'oeuvre de Marie-Odile Serres qui a décidé, pour la circonstance, le marché de Noël de Marciac du 16 décembre 2012, de renouer avec ses talents de fleuriste et de confectionner pour votre plaisir des couronnes de l'Avent.
Un air d'authenticité pour ce marché de Noël à Marciac !
Quant aux santons, si vous n'êtes pas déjà allé au château de Lavardens, vous en trouverez peut-être ? Mais rien de sûr ! Pourtant c'est bien un stand incontournable des marchés alsaciens. Mais voilà, il y a santon et santon !
Il y a ceux-ci fabriqués dans on ne sait quels pays d'Asie ou de l'Est européen : de la grosse cavalerie ! ( voir photographie ci-contre sur le marché de Noël 2012 de la place Broglie à Strasbourg)
Il y a ceux plus raffinés des santoniers de Provence, mais la production reste quand même de masse et leur nombre augmente !
(voir la photographie ci-dessous : stand du marché de la place Broglie à Strasbourg)
Il y a ceux du santonier alsacien Delorme, à Thal-Marmoutier, dont le blog s'est fait l'écho les années passées. La production reste totalement artisanale. Voici une des dernières créations, la laitière.
Il y a aussi les santons de la crèche de la cathédrale de Strasbourg, la référence pour la ville capitale de Noël.
Or depuis l'année dernière (idem voir le blog Actualité décembre 2011) la cathédrale accueille, dans le bas-côté sud, une exposition de figurines napolitaines.
Développements à retrouver dans les prochains articles.
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A la Lumière de Notre-Dame de l'Assomption à Marciac !
L'autre façon de parler de la Lumière, c'est à l'église Notre-Dame de l'Assomption qu'il faut la chercher.
C'est celle du temps de l'Avent qui, au bout de ses quatre dimanches, ouvre sur la naissance de
"l'enfant Dieu", le "Christkindel" de la tradition alsacienne . (voir ci-contre la représentation du Christkindel d'Eckwersheim)
Une attente, un cheminement, une réflexion et méditation sur la vie matérialisée par la flamme de quatre bougies. Beaucoup de choses à dire sur le sujet, mais là n'est pas notre propos. Il se résume dans le symbole de la couronne de l'Avent... tout un programme !
Mais à Marciac, pour la première fois, elle vient de faire son entrée à l'église Notre-Dame de l'Assomption, placée devant l'autel, première bougie allumée.
Pour ceux qui ne voudraient y voir qu'un élément de folklore de plus qu'ils se détrompent ! Que de choses derrière cette lumière ou.... Lumière !
Une nouvelle fois c'est à la cathédrale de Strasbourg qu'il faut se référer pour se rendre compte que les tailles des couronnes varient avec la solennité des lieux.
Une tradition que bon nombre d'églises en France reprennent et que les particuliers font entrer chez eux, comme ils le firent pour le "sapin de Noël".
Une nouveauté que Marciac ne va pas tarder à adopter et qui se trouvera à l'occasion de son marché de Noël... avec ou sans bougie, mais toujours une histoire de vie !
Couronne : création Marie-Odile Serres
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Retour aux sources
Il devient superflu de rappeler que la fête chrétienne de Noël, pour nos contrées, s'est greffée sur celle, bien antérieure et profane, du solstice d'hiver ; autrement dit la renaissance de la nature et le retour de la lumière ... et chacun de décliner l'idée à sa façon !
Lumières partout, démultipliée par les décorations :
L'exemple de Strabourg avec les décorations de "la rue des Orfèvres" et celles de la façade du célèbre restaurant, "le crocodile" .
Et plus on se rapproche de la cathédrale, plus la lumière fuse de partout :
- les lustres en cristal de Baccarat qui jalonnent toute la rue des Hallebardes ;
- les célèbres anges de la rue de la Mésange
qui va de la place Gutenberg (inventeur de l'imprimerie... une "lumière" à sa façon )
à la cathédrale Notre-Dame qui va célébrer en 2015 ses "mille printemps".
... lumière et Lumière !
A suivre !
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La bastide de Marciac a déjà, depuis quelques années, adopté la tradition du marché de Noël.
L'animation est maintenant très attendue. Elle est même devenue tradition. Et pourtant, même si la décoration de la place s'affirme d'année en année, il manquera toujours :
- le côté "durable"du marché, le temps du temps de l'Avent et toute l'ambiance faite d'odeurs de cannelle , d'agrumes et de pains d'épices ainsi que
- le pittoresque des façades à colombages, aux fenêtres outrageusement décorées.
Certes Noël se fête ! Mais peut être que, de l'Alsace au Sud-Ouest, l'idée même du marché s'est
vidée peu à peu de son fait générateur. A l'arrivée , elle n'est plus qu'une affaire commerciale où même le "Père Noël" - version profane du Christkindel - a perdu de sa crédibilité pour s'être démultiplié dans tous les annonces, catalogues et magasins et plus encore, à force de l'apercevoir grimpant, de jour comme de nuit, à tant de façades !
Pour revenir aux fondamentaux, il suffit d'observer ce qui se passe dans la capitale autoproclamée des marchés de Noël, Strasbourg. D'abord, il n'y avait pas l'ombre d'un Père Noël, en chair et en os, sur le marché ancestral de 1570, même pas pour une simple photographie avec lui ! Ensuite, la ville a dressé sur la place principale un imposant podium pour y accueillir toutes sortes de chorales. Elles se succèdent, les unes aux autres, dans le cadre d'un grand récital de chants de Noël qui célèbrent la Nativité.
Retour aux sources ! A suivre !
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3. Vu sous l'angle de la séparation de l'Eglise et de l'Etat ou selon les inventaires de 1906 : église paroissialle et chapelle Notre-Dame-de-la-Croix
b) Inventaire des biens
Sans l'avoir excatement bien observée, il se pourrait que l'actuelle sacristie de l'église Notre-Dame de l'Assomption renferme toujours "l'armoire à 6 compartiments scellée au mur"(point 2) ... avec dedans, notamment, ornornement de dais revendiqué par monsieur Sembrès, curé doyen, pour lui avoir été offert gracieusement par les dames de
Marciac en 1884. ". point 7
De récents inventaires, cette fois photographiques, ont permis de répertorier de tels ornements. A titre d'exemple en voici un, ci-contre .
Suit une énumération de calices et ciboires et de "trois crémières pour les saintes huiles"... !
A remarquer les précautions épistolaires (ou averties) de l'agent de l'Etat chargé de l'inventaire. Quant aux crémières il sera peut-être possible de retracer leur histoire. A suivre.
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