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Déjeuner sur l'herbe avec les clubs photos de BASSOUES et de RISCLES et un certain nombre de bénévoles qui, par leur disponibilité, permirent d'organiser les expositions dont les JEP 2015 se firent l'écho.
Le public fut tout aussi ravi que celui de l'été par les photographies d'Arbres et de paysages du Gers ... et nombreux à s'arrêter sur ce personnage/arbre ou vice versa ?
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Rétrospective succincte en images de "Paysages in Marciac 7e édition" et test du contenu et de la mise en forme de la "nouvelle histoire de Notre-Dame-de-la-Croix", deux jours d'une belle fréquentation.
ci-contre : Expositions à l'église paroissiale
Un public très varié, composé en majorité de "marcheurs". Les chemins de saint Jacques de Compostelle rencontrent vraiment un grand succès cette année.
Quant à l'histoire de NDC, les visiteurs ont joué le jeu et ont lu très attentivement le contenu des panneaux. Illustration par l'image, voir ci-dessous.
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Bon samedi à la chapelle avec 73 visiteurs pour ce premier jour des JEP 2015 !
Le panneau au sortir du chemin de saint Jacques de Compostelle fonctionne à plein ! Admiration pour tous ces marcheurs, et ils sont nombreux en cette saison.
Et pour dimanche, rappel de la messe en plein-air à 11 heures à la chapelle et du pique nique qui la suit pour tous ceux qui sont volontaires !
A voir du place :
- la rétrospective de PIM7e ...
- l'exposition des clubs photos de BASSOUES et de RISCLE
- la nouvelle histoire de NDC ... et vos remarques quant à son contenu et forme.
Bref, une présence constructive et généreuse de votre part pour que l'avenir de NDC se confirme au XXIe siècle... il n'y a qu'à se rapporter au thème des JEP 2015, qui de la chapelle ou de la salle de l'ASTRADA est l'avenir de l'autre ?
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"Etape sur le Chemin de Compostelle
Publié le 21/08/2015 La Dépêche du Midi
Pause photo avec, en arrière-plan, les clochers de Marciac ./ Photo DDM article de Maurice Serres
Elle a pour prénom Isabel (son papa étant d'origine ibérique), et parcourt chaque année un tronçon du Chemin, la première étape l'ayant conduite l'an passé de Puenta La Reina à Compostelle. Ce fut pour cette jeune allemande, professeur d'Espagnol à Hambourg, sinon une révélation, tout au moins une forte envie de renouveler l'expérience, phénomène bien connu des pèlerins !
Étape obligée à La Chapelle où se tenait l'exposition de PIM, halte et accueil toujours chaleureux à 2 pas de l'église Notre-Dame qu'elle n'a pas manqué de visiter, avant de poursuivre son chemin jusqu'à Oloron-Ste-Marie, dernière étape 2015 "
Ils sont ainsi plus de 2000 pèlerins à cheminer par la voie d'Arles. Ils font partie des belles rencontres qui peuvent se faire à Marciac et sont toujours les bienvenus pour tout ce qu'ils apportent avec eux . Tout est dans le don, pas le recevoir !
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Il y a pèlerin et pèlerin !
Noyés parmi les festivaliers, les pèlerins de Saint-Jacques sont un peu passés inaperçus cet été. Certains se sont cependant bien fait connaître !
Sans doute ignoraient-ils l'existence du festival ou sous-estimaient-ils son importance ? Certains pèlerins se sont agacés de ne pas trouver d'hébergement et de se voir contraints de chercher un peu plus loin un asile.
Leur revendication était légitime après tant de kilomètres à pieds ou à vélo. Sans aucun doute désespérés devant une telle situation et un accueil pas si "à bras ouverts" qu'ils l'imaginaient, mettant un peu trop en avant leur prouesse supposée ... pour ouvrir toutes les portes.
Ils se sont montrés plutôt irrités, fâchés et surtout pas compréhensifs du tout devant la situation particulière des résidents marciacais, lors de la tenue du festival. Sans doute ne garderont-ils pas une bonne impression de la halte dans la ville ?
Mais nous non plus d'eux ! C'est la première année où ils sont si revendicatifs. Ils sont vraiment nouveaux ces pèlerins qui croient que tout leur est dû et qui, sans vouloir délier leur bourse alors que l'on cherche des solutions pour les tirer d'affaire, exigent de bénéficier d'une halte gratuite. En dernier recours, ils se tournent vers l'église et s'étonnent que le presbytère ne les accueille pas ... même si le curé résidant est hospitalisé ! La fatigue n'explique pas tout.
Plus surprenant encore, le pèlerin qui revenant de Compostelle (?) et ayant mal préparé son chemin... réclama qu'une voiture le transporta jusqu'à Montesquiou , pour être au rendez-vous fixé avec des amis qu'il ne pouvait joindre pour les informer de son retard ? L'histoire ne dit pas s'il a fini par être entendu ou s'il a retrouvé ses forces pour poursuivre sa route ?
Heureusement ces pèlerins ne sont pas légion ... et il y a ceux qui vous réconcilient avec les chemins et dont on a envie de parler. Une affaire à suivre dans le prochain article.
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Lu dans la presse ...
Publié le 21/08/2015 - La Dépêche du Midi
article de Maurice SERRES
Photo DDM
"Tous les ans, la présence d'expositions dans les 2 lieux de culte de Marciac attire un grand nombre de visiteurs. C'est l'occasion, pour beaucoup, de découvrir le site de la Chapelle Notre-Dame de la Croix, son écrin de verdure et son histoire qui remonte à 1654 (soit deux siècles avant l'apparition de la Vierge à Lourdes). Ces expos, organisées par MCPT (Marciac, Culture, Patrimoine, Tradition), dans le cadre de PIM (Paysages in Marciac), ont connu cette année une très bonne fréquentation, au total plus de 5 000 entrées et des témoignages de satisfaction très nombreux. Voilà qui réjouit artistes (8 au total) et organisateurs."
Mesdames Christiane LABENELLE et Claude LASSERRE ... gardiennes de l'exposition de l'église consacrée aux artistes marciacais, Remi Trotereau, Denise Ribès et Barbara Campbell .
Le hasard du cliché les a immortalisées, mais à cette même place bien d'autres personnes à remercier. Elles se reconnaîtront. Elles étaient présentes à l'église ou à la chapelle, même abnégation de leur temps pour que ces expositions et leurs vernissages soient un succès.
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Madeleine, Bénédicte, sa dernière petite-fille, Astrid, et Isaure, née très exactement 102 ans après elle./Photo G.D.C.
"L'événement (c'en est un assurément, MARCIAC n'ayant compté que deux autres centenaires au cours de la dernière décennie), Madeleine a fêté en toute simplicité, à la résidence des Mille Soleils, son 102e anniversaire.
Originaire de BAGNERES-de-BIGORRE, elle est née le 12 août 1913, ne faisant vraiment connaissance avec son papa qu'à l'issue de la guerre 1914-1918. De son mariage avec Albert De Cleene naîtront deux enfants, Gilles en 1951, et Françoise en 1954 (actuellement sœur Marie Angélique de la Croix
Madeleine, veuve depuis 1981, a retrouvé BAGNERES où elle a vécu seule jusqu'à l'âge de 92 ans. Admise à la maison de retraite des Mille Soleils en 2005, elle a pu bénéficier un peu plus tard des soins accordés aux personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer. Le directeur, le personnel, ses amis résidents avec lesquels elle entretient d'excellentes relations ont loué son optimisme, sa gaieté, son caractère enjoué. Si sa mémoire n'est plus naturellement infaillible (Madeleine vit surtout le temps présent), elle adore la poésie, récitant volontiers les fables de La Fontaine, accompagnant en chansons les groupes musicaux qui viennent régulièrement animer les matinées aux Mille Soleils.
Aujourd'hui, Madeleine De Cleene compte 2 enfants, 6 petits-enfants, 14 arrière-petits-enfants, en attendant d'autres naissances annoncées. Son fils aîné et son épouse, qui habitent Marciac, gardent, bien entendu, un contact permanent avec Madeleine et l'on espère voir encore longtemps le Général (2e Section) Gilles De Cleene promener sa maman dans les rues de la ville."
NB : Article de Maurice SERRES pour La Dépêche du Midi.
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