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Histoire de Marciac - (181) : V - Vie paroissiale à Marciac : les hommes d'Eglise influents

NDLR : La commémoration du lundi de Pentecôte 2016 (16 mai), que le blog a commenté (cf. infra),  fut le prétexte tout trouvé pour renouer avec  l'Histoire de Marciac", et reprendre le récit là où il avait été interrompu,  le 23 mars 2015.   Il se passe trop de choses à Marciac  dont il a fallu rendre compte en priorité !

Ce dernier article fut suivi, entre autres, par les comptes rendus sur  "les travaux pratiques de l'histoire de Marciac", dus à la visite sur le terrain de monsieur Guy Cassagnet, le grand spécialiste de tout ce passé marciacais.

Un ensemble d'articles qu'il est peut-être utile que vous consultiez, pour vous replonger dans l'ambiance de l'époque et pour s'y retrouver dans le plan d'ensemble de cette rubrique historique. Il suffit pour cela de sélectionner à droite de l'écran, dans Catégories,  "Histoire de Marciac" et de parcourir ces pages ! Ou de reprendre le cours de l'histoire avec le 181 e épisode.

Histoire de Marciac - (181) : V - Vie paroissiale à Marciac : les hommes d'Eglise influents

5° Joseph LASSALLE (1869-1884)

 Le document ci-contre, des archives diocésaines d'Auch,  donne le ton de ce que sera le ministère du curé-doyen de Marciac de 1869 à 1884, Joseph LASSALLE : un prêtre bâtisseur ! 

L'incidence de la guerre de 1870, qui stoppa quelque temps les initiatives, fut bien vite oubliée.

 

L'ère du temps est au modernisme : 

• la photographie en est à ses balbutiements ;
• l'écrit quant à lui devient un moyen important de communication  comme en témoigne le prospectus ci-dessus diffusé avec une lettre circulaire d'accompagnement,  comme le font aujourd'hui nombre de relances ou de sollicitations reçues par courrier.
• Dans des articles antérieurs, nous avions déjà relevé les procédés de simplification administrative, comme les formulaires préétablis dont il suffisait de compléter les blancs. Ce fut le cas pour le recensement, dans la 2e moitié du XIXe siècle,  des registres de naissance dans les mairies ou encore  les comptes rendus de visites pastorales de l'archevêque d'Auch par exemple.

L'abbé Joseph LASSALLE se lance dans l'embellissement de l'église paroissiale de Marciac, Notre-Dame de l'Assomption.

 

 

Vu au salon de la caricature des 12 au 16 mai 2016 ... les coups de coeur de M.S. !

La quatorzième édition du salon de la caricature de Marciac, des 12 au16 ùai 2016,   a accueilli douze dessinateurs "aux Granges Guichard". Ci-contre, une partie du public photographié le jour de l'inauguration.

Il est peut-être pas inutile de rappeler que l'organisation de ce salon a été confié au CLAP que préside madame BAUD-GERS ; à souligner et à saluer la constance... pour le meilleur des visiteurs. 

Notre correspondant local, M.S., a eu deux coups de coeur  dont il ne peut rendre compte que sur le blog parce que des instants "volés par l'image" à ceux qui les vécurent et qui en disent long sur  un instant de grâce entre deux générations.

La fierté de l'un et la gratitude de l'autre captées par l'instantané de l'image dans une relation toute  fondée sur la générosité de l'âme !

1.L'élève de classe maternelle et sa directrice !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

2. La fierté du maître pour son élève    ou le "clin d'oeil" de SIMON qui vient de faire le portrait de JADE , une jeune dessinatrice qui se lance dans l'aventure de la caricature avec l'aide de tous les artistes confirmés. Photos de MS !

La conférence de Stéphane ABADIE : compte rendu en deux temps - 2-

Nous en étions restés à cette phrase :

• "Une impressionnante documentation dont ces quelques mots ne peuvent rendre compte et dont il fut tiré ... tant d'indices  qui en disent long sur ...

• les origines de l'ordre des Prémontrés  et son implantation en Gascogne avec en parallèle l'appréciation des intérêts croisés ou contraires des autorités de l'époque et les fruits escomptés ;
• le développement de l'ordre en richesse terrienne avec cet autre regard sur l'organisation sociale de l'époque non seulement par et pour l'exploitation de ces dépendances,  mais aussi en raison des liens tissés avec les seigneurs locaux. Leurs dons s'apparentaient plus à une forme d'assurance du capital, en faisant entrer dans l'ordre un cadet qu'un don purement altruiste ! Le seigneur assurait ainsi le devenir du cadet,  qu'il entrât dans l'ordre ou qu'il succédât à son aîné en recouvrant sa propriété.
• l'importance des granges dont les destins divers apportent un autre éclairage sur le mouvement des bastides et ce qui fit leur insuccès ou succès 
• les méthodes de gestion qui au fil du temps et de l'accroissement des possessions, passèrent d'une exploitation directe par les moines à une gestion plus comptable, en gérance,   des droits et des redevances tirés d'une  exploitation de plus en plus indirecte de toutes ces propriétés.

Les moines se révélèrent être des hommes d'affaires par excellence !  La possession de la maison forte de Marciac illustre bien cet aspect. Echoppes au rez-de chaussée, habitation à l'étage,  stockage des marchandises à l'arrière de la maison...les rendant disponibles immédiatement pour toute vente.

En règle générale, les moines prémontrés entretinrent peu leurs édifices au cours des temps, sauf quand ils y furent contraints. Cela explique la rareté des vestiges. L'intérêt de toute l'histoire de l'abbaye de la Case-Dieu réside bien dans l'étude de ce "temporel monastique" à l'époque médiévale... en Gascogne en particulier. Elle en dit long aussi sur notre époque moderne. A rechercher ce qu'il advint de toutes les pierres de l'abbaye de la Case-Dieu, vendue comme bien national à monsieur de Fondeville, en dehors de quelques dons qu'il fit, ce dernier conserva en grande partie le bâti. Ce fut l'acquéreur suivant, un maçon, qui la démantela...

Et là commence une passionnante recherche de tout ce qu'il advint de ces pierres ! Peut-être en partie le sujet de la 3e conférence de Stéphane Abadie, le vendredi 5 août 2016 à 16h30 à l'église paroissiale de Marciac (entrée rue Saint Jean - et libre !) . 

La conférence de Stéphane ABADIE : compte rendu en deux temps - 1-

Une assistance nombreuse, ce samedi 21 mai, pour suivre la conférence de Stéphane ABADIE. La salle dite des "Ainés" avait été retenue pour l'occasion,  la seule capable d'accueillir dans de bonnes conditions la soixantaine de personnes qui avaient fait le déplacement pour tout savoir sur l'abbaye de la Case-Dieu. Accueilli, entre autres, par Maurice Serres comme le montre la photographie ci-dessous, Stéphane ABADIE  a présenté son sujet de thèse : "Un temporel monastique dans l'espace médiéval gascon".

Sa façon à lui de ne pas refaire la conférence donnée quelques temps avant à Beaumarchès,  tout en partant cependant des mêmes fondements, mais en insistant sur la démarche entreprise pour résoudre cette énigme de l'histoire de l'abbaye. Il expliqua sa méthode, ses découvertes, ses interrogations. L'historien fit de ce sujet, dont il ne reste plus que deux vestiges à quelques kilomètres de Marciac (voir les clichés inclus dans le compte rendu n° 2 dès le 25/05 !) , un script passionnant, emportant l'auditoire dans diverses dimensions, sillonnant  la Gascogne à l'époque médiévale  mais aussi avant et après cette période.

Une démarche qui fut très appréciée par les auditeurs et en particulier ceux (nombreux) de la 1ère conférence. Ils eurent ainsi tout un complément d'informations sur la méthode de recherche entreprise et la traduction en faits tangibles de cette accumulation d'informations sur cette abbaye.

Un énorme puzzle, patiemment reconstruit qui, au final, livra une histoire aux implications débordant la Gascogne,  avec ce qu'il sied de savoir en particulier sur la fondation de Marciac et la construction de la "maison des abbés de la Case Dieu", (la seule en pierres de taille) donnant sur la place de la ville.

Dur, dur ! de résumer la richesse du propos ! Pour le comprendre quelques notes rapides et non exhaustives résumant le travail de l'historien devenu enquêteur : 

• Un travail de recherches, compilations, traductions, transcriptions, déplacements sur les lieux etc ... de 6 ans ! 

• L'aide plus que précieuse d'autres éminents spécialistes comme Alain LAGORS, Christophe BALAGNA pour partie de cette documentation ainsi que Xavier RAVIER. Pour l'exemple : identification de plus de 400 pierres éparses (aujourd'hui) de cette abbaye et dont seulement 200 permirent de tirer des considérations intéressantes pour cette reconstitution de l'histoire de l'abbaye.

• Un champ d'investigation immense  qui va de l'étude du (des) cartulaire(s) au "rouleaux des morts", au fonds Larcher et autres nombreuses sources  :  étude de la géographie, du cadastre, des paréages et autres  décisions locales de fondation ou d'aménagement qui va jusqu'à la mention de création d'une nouvelle route assortie d'un tracé très rudimentaire, mais renseignant sur l'emplacement du monastère ;  ou encore l'étude d'un dessin du XIXe siècle comme celui de Laplagne-Barris sur l'état des vestiges . Autres sources d'information, les ventes des biens nationaux et leurs inventaires etc... Bref ! Une impressionnante documentation dont ces quelques mots ne peuvent rendre compte et dont il fut tiré tant d'indices  qui en disent long sur ... [ à suivre ! article à paraître le 25/05/2016 rubrique Actualité ou Agenda]

 

 

 

Le passé revisité au présent ! Les origines de la Pentecôte

D'où vient le lundi de Pentecôte ?

"Ce qui est la Pentecôte fut à l'origine la "fête de la Moisson" que l'on appelait du temps de Jésus : "la fête des Semaines".

Les juifs en changèrent le sens premier en commémorant à cette occasion le don de la Loi fait à Moïse au mont Sinaï, tout en continuant  à célébrer la fin des moissons. C'est ainsi que de toutes les parties du monde, des Juifs venaient à Jérusalem pour offrir des gerbes de blé en action de grâces.

La Pentecôte chrétienne se substitua à la fête juive du don de la Loi  pour signifier "l'Esprit-Saint" venant imprimer sa loi d'amour au coeur de tout disciple de Jésus. Ce sont les premiers chrétiens qui donnèrent à ces fêtes anciennement de la Moisson puis des Semaines le nom de Pentecôte.

Des baptêmes étaient célébrés dans la nuit, comme celle de Pâques. Cette fête durait ainsi deux jours" : d'où le lundi de Pentecôte !"

Source : Père Louis Pucheu

Le passé revisité au présent ! Un lundi de Pentecôte à la chapelle NDC

C'est près d'une cinquantaine de pèlerins qui, ce lundi de Pentecôte 2016, se rendirent en trois vagues jusqu'à la chapelle en ayant pris soin de se faire précéder par la croix de procession des Pénitents Blancs. Sur la photographie, on la voit déposée au pied de l'autel. Un petit exploit en soi car pas totalement "poids plume" ! 

Ils furent rejoints par une assistance nombreuse qui remplit toute la chapelle pour une messe regroupant toutes les paroisses  de Riscle, Plaisance du Gers et de Marciac. La messe fut co célébrée par les abbés Koutouan, Ader, Vignaux et Della Barba.

 

 

 

La célébration fut suivie d'un grand pique nique, instant de partage total et général pour ceux qui avaient choisi de déjeuner à la chapelle. Une profusion de victuailles et de boisson qui permit d'inviter ceux qui habituellement se trouvaient à la porte du sanctuaire ; un accueil d'autant plus facile et discret que l'assemblée était nombreuse  et ravie de ce beau temps inespéré encore la veille !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L'après-midi, temps de réflexion sur la "Mystologie de l'Eucharistie" : une lecture à deux voix et un diaporama pour accompagner le texte, suivi d'un temps de détente et de jeu avec un tout nouveau "football assis !" ; pour enfin se quitter après la bénédiction donnée par les abbés Koutouan et Vignaux.

 

 

 

 

 

 

 

 

Les pèlerinages d'antan se ponctuaient de célébrations de messes basses et de messe solennelle ; de temps de prière à l'oratoire, puis à l'église et re la chapelle. Les bannières remplaçaient la croix de procession. Quelles furent d'hier ou d'aujourd'hui c'est un même attachement à la chapelle de Notre-Dame-de-la-Croix qui motiva les participants. Certains n'y étaient plus venus depuis une quarantaine d'années, d'autres ne la connaissait pas ;pour tous le même plaisir de s'y trouver en ces circonstances particulières et d'y célébrer le Pentecôte dans l'acceptation moderne de ce que cette fête représente.

 

 

 

 

 

 

 

 

Le passé revisité ... au présent !

Pour la commémoration du pèlerinage à Notre-Dame-de-la-Croix, une initiative a été prise par la paroisse de Marciac pour le célébrer à la façon XXIe siècle.

Pas de passéisme, ni de nostalgie et encore moins de prosélytisme dans ce que la PRTL de Marciac propose pour ce lundi de Pentecôte.

Chacun trouvera dans le programme de quoi satisfaire ses convictions personnelles. Rien n'est prérequis ou même exigé ! Tout simplement l'envie de rencontrer et de partager avec les autres, une marche, un repas ou tout simplement le plaisir de se retrouver dans un lieu apaisant. 

Le temps maussade associé aux fameux saints de glace, fait une exception pour le lundi 16 mai !  

Comme toujours quand il se passe un événement à la chapelle de Notre-Dame-de-la-Croix, l' accalmie, le soleil sont toujours présents ! Demandez-vous pourquoi ? 

Comme une envie d'escapade - 7- : Les croix de Saint Véran !

Est-ce le retour du printemps, le mois du plus grand nombre de jours fériés (enfin pas cette année 2016), ou l'envie d'une escapade dans l'espace ? Toujours est-il ,  retour à Saint Véran quitté avec précipitation le 28 octobre dernier dans la rubrique  "les Petites ou grandes histoires"  ! 

En effet, ce village atypique dispose encore d'une particularité : les croix de Mission.

Le village possédait six croix de mission. Une croix était dressée à chaque passage d'un missionnaire venant apporter la bonne parole aux paroissiens. Chacune des croix portait les symboles de la Passion du Christ.

• le coq : rappel de l'annonce par Jésus de la trahison de Pierre avant que le coq chante trois fois ;
• l'inscription "INRI" : Jésus Nazarei Rex Ludei" - Jésus de Nazareth roi des juifs ;
• le marteau et les clous : le Christ crucifié
• l'éponge : un soldat prit une éponge imbibée de vinaigre et la présenta à Jésus au bout d'un roseau ;
• la main : Jésus est giflé au cours du procès juif ;
• le fouet : Jésus est fouetté avant son exécution ;
• le pain et la coupe : c'est le rappel de l'institution de l'Eucharistie au cours du dernier repas du Christ ;
• la couronne d'épine : couronne royale de dérision faite par les bourreaux ;
• l'épée : Pierre sort son épée pour défendre Jésus ;
• le vase de parfum : Pilate se lave les mains en présence de la foule ;
• la lance : un soldat transperce le côté du Christ ;
• la tenaille et l'échelle : Jésus est descendu de la croix ;
• la colonne ; Jésus est attaché à la colonne, humilié et flagellé ;
• le visage du Christ : une femme (Véronique) essuie le visage du Christ ;
• Les deniers de Judas ; Judas livre Jésus aux chefs des juifs pour trente pièces d'argent ;
• les dés : les soldats se partagent le vêtements du Christ et tirent au sort sa tunique.
• Nb : d'après le panneau expliquant les croix de mission de Saint Véran.
•  

6 janvier - 21 mai 2016 ! De la soutenance de thèse à la conférence qui sera donnée à Marciac !

Connaissant votre curiosité quant à l'histoire de Marciac, Stéphane ABADIE a accepté de donner une conférence, le 21 mai prochain,  concernant le sujet de sa thèse. 

Reproduit ci-après, l'invitation à suivre cette soutenance, incluant le sujet précis traité  et la composition (impressionnante) du jury. Juste pour  attiser votre curiosité, d'autant que la thèse de doctorat a été primée par la Société Archéologique du Midi de la France !

Soutenance de thèse de Stéphane Abadie

le 9 janvier 2016

Stéphane Abadie

 

serait honoré de votre présence

à l’occasion de la soutenance de sa thèse de doctorat intitulée

Un temporel monastique dans l’espace médiéval gascon :

l’abbaye prémontrée de la Casedieu (Gers), XIIe-XVIe s.

le samedi 9 janvier 2016 à 14 h

Bibliothèque d’Études Méridionales

56, rue du Taur 31000 Toulouse

Composition du jury :

Monsieur Jean-Loup Abbé, Professeur, Université Toulouse-Jean Jaurès, directeur de thèse

Monsieur Luc Bourgeois, Professeur, Université de Caen/Basse-normandie, rapporteur

Monsieur Enric Guinot, Professeur, Université de Valence, rapporteur

Mme Élisabeth Lorans, Professeure, Université de Tours ;

Mme Nelly Pousthomis-Dalle, Professeure, Université Toulouse-Jean Jaurès, directrice de thèse

Monsieur Xavier Ravier, Professeur émérite, Université Toulouse-Jean Jaurès

A noter dans votre agenda, le samedi 21 mai à 15 heures, salle des Arènes , chemin de Ronde à Marciac ... Entrée libre ! 

 

La minute occitane au service de la poésie - VIII - Les bons génies de l'Armanac de la Gascougno !

Maximilien LACLAVERE

Retour aux sources de la Société Archéologique, Historique du Gers et au dictionnaire (p 193) "Le Gers, dictionnaire biographique..".

On y lit que Maximilien Laclavère est né à Fleurance, le 2 février 1858 :  Prêtre et écrivain de langue gasconne.

"Vicaire général du diocèse d'Auch [(de 1902-1904 cf. les sources de  culture.gouv )], Maximilien Laclavère fut le fils spirituel de Léonce Couture dont il hérita des livres et manuscrits. Il collabora à "l'Armanac de la Gasoucogno" auquel il donna, chaque année, la traduction gasconne d'un chapitre de la Genèse.

Il cosigna en 1903, avec les abbés TALLEZ, Céserac et Sarran, un recueil de poésies "Ahèus e Flous"."

NB Source : le site occitanica.eu

LE SAVIEZ-VOUS ?

"Recueil de poésies et chansons occitanes des abbés Sarran et Tallez ainsi que des chanoines Laclavère et Cézérac, félibres exerçant à l'époque dans le Gers."

Tallez, Paul (1846-1938), Sarran, Fernand (1873-1928), Laclavère, Max (1858-1913), Cézérac, Pierre-Célestin (1856-1940), Ahéus e flous / [lettre-préf. de Paul Tallez et Adrien Planté], Occitanica - Mediatèca Enciclopedica Occitana / Médiathèque encyclopédique occitane"

http://www.occitanica.eu/omeka/items/show/3190    

 

Paul TALLEZ

Retour au dictionnaire "Le Gers ..." pour un complément d'information sur Paul Tallez.

Il est né le 23 mars 1846 à Estang. Prêtre, écrivain de langue gasconne. IL fut professeur au séminaire d'Auch.

Paul Tallez a laissé quelques courts poèmes et vingt-six chansons (textes et mélodies) dont la pureté et la simplicité sont telles que l'ont cru entendre de très vieilles chansons issues du folklore gascon".

Paul Tallez est décédé à Auche en 1931. Outre sa contribution à Ahèus et Flous (Buissons et fleurs) il est l'auteur de Arrepics e cansous (1927).

Voilà ! Vous connaissez désormais tous les bons génies de l'Armanac de la Gascougno... et les adresses internet pour consulter leurs ouvrages... en occitan !