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Et que dire des "jardins secs" ou "jardins zen", symboles et conçus pour la méditation ?
Ph prise su Google :
Ce jardin, pris en référence par le conférencier, a pour particularité de cacher un élément qui le compose à la vue d'un observateur où qu'il se trouve !
Rochers symboliques, pierres évoquant l'eau, la mer. Parfois des éléments de végétation associés au minéral ... par pur accident, et conservés en respect de cette nature.
Alors pour ceux qui voudraient en savoir plus, la bibliographie communiquée par le conférencier pour composer son exposé.
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Pour illustrer le contenu, ces quelques photos glanées parmi les images "google"
Eau, minéral, végétation, construction, porte, pont ... sont autant d'évocation de ce cosmos à l'agencement savamment composé pour exprimer le jeu et l'effet de la nature, cette quête du paradis (... de l'autre côté de la porte ... ?) la réminiscence de la légende, le chemin tortueux de la vie, cette quête du divin et des "ciels nuageux" que les arbres suggèrent en raison de leur forme ou de leur taille ... etc.
Cf. ci-contre la photo de JP Lamarque
II - Le jardin japonais
Ce dernier est imprégné de la sagesse shintô : souci de préservation des forces de la nature, invisibles, mais animées par des esprits. Cela conduit à un total respect de la nature et de la vie animal.
Cependant les arbres sont taillés en boule doivent obligatoirement être et resserrés à leur base. Le pin, symbole de longévité fait obligatoirement partie du décor tout comme le pavillon qui évoque le monastère où ces jardins prirent forme, pur symbole. Par extrapolation, il devint "maison de thé" - un art de la dégustation mise au point par les moines -. Dans ce pays sujet aux tremblements de terre, "le temple" sera reconstruit à l'identique en cas de destruction, l'âge n'étant pas une référence en soi, seul importe le symbole !
Les fleurs y sont rares. Leur côté éphémère est sublimé. Tout le monde a en tête les cerisiers en fleurs ; quand elles sont fragiles comme les pivoines , des ombrelles les protègent du soleil. L'astre qui par ailleurs, dans la culture nippone, est considéré comme l'ancêtre de la famille impériale ... et cela depuis 125 générations !
Quant au sujet de la conférence il n'est toujours pas épuisé ! A suivre !
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Culture (sans jeu de mot) et évasion caractérisent cette dernière conférence de J-P (Yann) Lamarque, ce samedi 19 novembre 2016 à Marciac.
Le commentaire structuré autour du plan suivant :
fit voyager, dans le temps et l'espace, l'auditoire de Marciac . Que faut-il en retenir ?
I - l'importance de bien comprendre le jardin chinois qui inspira le jardin japonais ... avec des nuances liées aux cultures respectives.
Jardins chinois, (jardins japonais)... un univers insoupçonné, qui ne peut s'apprécier qu'avec un minimum de références à propos des sagesses tao, shintô et zen !
Or, grâce à la venue depuis 2010 de Jean-Paul (Yann) Lamarque, comme conférencier à Marciac, le public peu à peu familiarisé avec ces cultures asiatiques [6 conférences : du Nombre d'or, à l'acoustique des théâtres antiques, Byzance, la légende du Ramayana, le Boutan, Le Népal] , a totalement "savouré des yeux et de l'esprit" cet exposé.
Quant aux non-initiés, le conférencier prit soin de rappeler les principes gouvernant le cosmos, influence et représentation symbolique. Il suffit de se reporter au document ci-dessus (source JP Lamarque)
Notre esprit rationnel des jardins à la française, déjà bousculé par ceux à l'anglaise, s'est coulé sans difficulté dans les espaces chinois et japonais à l'agencement tout en symbolisme.
La genèse de ces espaces est liée à la mythologie chinoise, à la recherche supposée du paradis et de trois îles mythiques, puis de la déclinaison des sagesses citées plus haut. Elles vont donner lieu à toute une interprétation de l'univers au travers de la représentation et de l'interaction des éléments, à leurs effets supposés au plan naturel comme au plan humain et au final, leur traduction dans l'agencement de l'espace idéal, où le divin, la nature et l'homme trouvent leur juste place.
Se promener dans un jardin chinois suppose d'appréhender l'espace (orientation avec les forces attribuées aux points cardinaux) , positionnement des espaces vie, de l'élément eau, de murs, symboles du passage de l'humain au divin, et de la signification d'éléments appréciés (par nous) comme décoration, le dragon, mais en réalité symbole de fertilité et d'abondance. La végétation, retaillée en des formes particulières, tout comme les éléments naturels (rochers - eau - plan d'eau - montagne - grues(messagers des dieux) etc... répondent à l'expression de cette quête du paradis et du bien-être qui s'en dégage.
Voués à tous les arts, ces jardins sont de petits instants d'éternité que les sublimes photographies de Yann Lamarque mirent en valeur et qui font cruellement défaut à ce commentaire !
A suivre ...
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C'est cet extraordinaire parcours au sens propre, comme au sens figuré, que conte l'abbé Georges BERNES et qu'il pratiqua bien avant le grand engouement actuel !
1961 : pèlerinage à Compostelle ... relaté sous forme de Carnet de route d'un pionner et qu'il ne publia qu'en 2011 - voir page de couverture ci-contre.
1976 : passion intacte - la mise en poésie du ressenti du chemin à ... Saint-Christaud ! Tout à fait inattendu, touchant et combien révélateur de ce que ce chemin peu susciter comme pensées, contemplations, méditations ... [publié par la SAHG 4e trimestre 1985 p 375 ] Quelque chose de "magique" ou peut-être de "soufflé" par ... ? Dans tous les cas, une trouvaille faite par une autre personne qui hélas n'est plus, Jean Lavarini. Il avait glissé au milieu de tout un tas de papiers cette page qui révèle un peu plus son auteur déjà connu pour être mélomane.
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Alors que dans toute la France on s'apprête à commémorer le centenaire de la "Grande Guerre : année 1916" , blogmarciac "revisite" l'évènement qui, l'année dernière, avait donné lieu à une exposition à Marciac grâce à l'initiative de Maurice Serres, président local des Anciens combattants, et l'association "Mémoire des deux guerres en Sud-Ouest."
Un livre était en vente à cette occasion : "Adieu mes petits soldats de France !" ou l'album d'un maître d'école des Hautes-Pyrénées des communes de Marsac et Villenave-près-Marsac, 1914-1919 ; co-écrit par Dominique Delluc et Lucette et Dominique Aymard -
Pour se souvenir de ce temps et célébrer la mémoire de ces héros un arrêt sur image de la terrible année 1916 [extrait de l'annexe 1 page 141] pour se rappeler ce que ces soldats vécurent et méditer sur leur sacrifice.
Ci-contre, la quatrième page de couverture ! Elle en révèle tout l'intérêt et surtout vous tenez-là une superbe idée de cadeau pour Noël tout proche !
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5 ° Joseph LASSALLE - curé doyen de Marciac de 1869 à 1884
Epilogue
Les transformations entreprises par le curé-doyen Joseph LASSALLE ne furent pas du goût de tous les paroissiens. Louis Rolland, entre autres, fustigea sévèrement le mauvais goût du curé-doyen qui, malgré les mises en garde de l'architecte diocésain, Gentil, persévéra dans ses modifications qui rompirent avec la finesse de la décoration et de la structure de l'édifice.
C'est pour l'essentiel, l'église transformée par Joseph LASSALE qui se visite aujourd'hui, même si depuis 2014, le visiteur ne peut plus s'interroger sur la présence d'un autel en mezzanine.
Joseph LASSALLE quitta la cure de Marciac en 1884 pour les fonctions de vicaire général à Auch.
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5° Joseph LASSALLE - curé doyen de Marciac de 1869 à 1884
L'empreinte du curé-doyen Joseph : les embellissements dus aux dons :
Le pignon Est de l'église Notre-Dame de l'Assomption fut complété, en 1872, pour la partie haute par deux vitraux :
Moïse et la Synagogue (à droite)
Le bas-côté Sud fut doté d'un vitrail retraçant la Vie de Marie 1875 - atelier Champigneulle de Bar-le-Duc
Elle fut donnée par l'abbé Canéto en 1879 en remplacement de celle décorée de faux marbre.
Sculptée par Minvielle à Tarbes, il représenta sur l'abat-voix Dieu le Père entouré des prophètes Isaïe, Jérémie, Ezéchiel, Daniel.
Les panneaux représentent quant à eux les évangélistes : saint Matthieu (l'ange), saint Marc (lion), saint Luc (le bœuf), saint Jean (l'aigle) et le baptême du Christ.
La statue du sacré cœur de Jésus
Don fait en 1875 par mademoiselle Marie Abeilhé (voir ci-contre)
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