Depuis le belvédère de l'église saint Martin de Cazaux-Villecomtal des vues magnifiques sur la campagne gersoise qui, d'un côté, s'étale tout au long de la vallée de l'Adour et de l'autre voit défiler les lignes de crêtes… On comprend mieux l'inspiration du félibre.
Photo de croix JM Rollet
Joseph arrête
Allons, Joseph, tu ne peux pas arrêter comme ça quand même !
- Si, si ! Tu vois bien que je suis vieux maintenant ! Alors avant de divaguer et d’écrire des bêtises, j’arrête. Tu sais, il y a douze ans que ça dure et les idées commencent à manquer. Mais je suis fier d’avoir fait revivre des petites histoires d’autrefois, en patois de chez nous, simple…et je l’espère facile à lire et à comprendre… Et tant pis si les normes du gascon ou de l’occitan ne sont pas respectées. Le parler de chez nous ; d’après les anciens, ne connaissait pas de normes ! Il évoluait de village en village et même au fil du temps…C’est tout ça qui en fait la saveur et qu’il faut sauver !... Un grand merci à l (équipe de « L’Echo de l’Astarac », à tous ceux qui m’ont aidé et à tous ceux qui ont fait l’effort de me lire.
Adichatz, bon Noël, bonne Année, et soyez toujours de fiers Gascons.- Joseph de Tistaillé
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