Alphonse de Lamartine à qui est emprunté, pour partie, le titre de l'article, n'a jamais imaginé qu'il serait possible de le vivre un jour. C'est un peu ce qui se passe en ce moment pour chacun de nous.
Avec le confinement, le virus a stoppé net la course effrénée de chaque jour, pour ne pas dire la fuite en avant qui permet de remettre à plus tard dans nos vies, le tri dans ce qui est vital, indispensable, important ; ce qui donne sens à la vie dans et que masque l'offre pléthorique d'incitations diverses et variées qui viennent flatter notre égo et sans lesquelles, comme veut le faire croire notre société nous ne sommes pas dans la vraie vie, dans le coup, comme la majorité…pas dans le coup !
Désormais "Je n'ai pas le temps" n'est plus une excuse. Elle ne l'était pas avant et encore moins aujourd'hui. Dans la lignée des articles d'actualité sur la réflexion induite par cette pandémie, suivra un article long (très long) à ce sujet . Il faudra le lire , le mieux sera peut-être de l'imprimer. En attendant, cet article de Maurice Serres sur le confinement de la première semaine ...alors que l'on entame déjà la 3e ! Finalement le temps court ! court !
PS : Photographies de Maurice Serres et dans quelques temps, pourquoi avoir cité Alphonse de Lamartine ? Ce dernier connaissait bien Marciac !
" Il n’y a pas âme qui vive sur la grande place de Marciac. Jean-Louis Guilhaumon, maire de Marciac, vice-président de la Région Occitanie. Après une semaine de confinement, Jean-Louis Guilhaumon, maire de Marciac, fait le point sur la situation dans sa commune. Monsieur le maire, quelle est la situation aujourd’hui dans votre commune par rapport à la crise du Coronavirus ? Après une première phase consécutive à l’annonce de confinement au cours de laquelle nous avons connu un rush vers les commerces alimentaires, les Marciacaises et Marciacais ont bien intégré les consignes gouvernementales et notre village habituellement très animé est d’un calme saisissant, comme si le temps s’était suspendu.
Les commentaires récents