autrement dit est-ce la victoire des fêtes profanes ou, par les temps incertains que nous connaissons, ne faudrait-il pas un peu de lumière pour éclairer le chemin qui reste à faire ?
Entre les deux dates évoquées il s'en est passé des choses au plan liturgique : l'adoration des bergesr mais aussi celle des mages, la présentation de Jésus au Temple, la fuite en Egypte, l'assassinat des saints Innocents etc... au point de se fourvoyer dans la chronologie des évènements. La confusion vient de la surabondance de galettes des rois dans les allées des commerces alimentaires, avant même la naissance de Jésus. !
Quant au gui et sa tradition de porte bonheur, il n'en est plus question ? Pourtant l'origine remonte aux bons vieux druides de nos ancêtres les Gaulois. Ceux qui nous informent préfèrent disserter sur la galette dont le prix a augmenté du fait de ... , à moins que les gestes barrières aient eu raison de la tradition des baisers échangés sous le gui en franchissant la porte ?
Le 6 janvier reste la date fixée pour fêter l'Epiphanie ou un belle façon de rappeler l'importance du partage avec autrui.
Singulier destin que celui de l'enfant de la crèche qui , par un ensemble d'évènements le touchant ponctués de traditions, finit par convaincre de l'utilité de réfléchir à l'humanisme qui se cache derrière.
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